"Le destin conduit celui qui l'assume; il traîne celui qui veut le nier." Cicéron
C'est peut-être dit plus élégamment que les Inconnus mais l'idée est bien la même.
Assumer son destin.
Merci Cicéron ; la tache est si simple !
...
Passer des coups de fil en séries de relance pour sa recherche d’emploi.
Dire que tout va bien.
Dépérir.
Et tomber sur Les Barricades de
François Couperin diffusées sur ce merveilleux Carrefour de Lodéon sur France Inter.
Les Barricades de François Couperin, interprétées au clavecin
Grand classique des massacres lors des fameuses auditions du conservatoire de
son enfance. Retrouver le sourire en repensant à Maxime, incapable de sortir
son si bémol de la main gauche. Au chignon impeccable de Rosalie et au dos bien
droit d’Aurélien* (que je n’aurai jamais – le chignon … et le dos d’ailleurs). Repenser à ses heures de travail, à
ses gammes, à son énervement lorsque les fruits du labeur n’étaient pas immédiats
et à sa satisfaction lorsque la prestation était réussie.
Se dire que tout est toujours un équilibre entre le sentiment d’être seule
au monde et d’être désespérément comme tout le monde.
Recevoir un gentil mail.
Se dire qu’il en faut peut pour être heureux ... et se dire que c'est son destin !
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